Carburants. Début des réquisitions, FO rejoint la grève, discussions chez Total… ce qu’il faut retenir de ce mercredi

Ce qu’il faut retenir ce mercredi

  • La réquisition du personnel a débuté dans le dépôt de carburant de la raffinerie Esso-ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme (Seine-Maritime) avec pour l’instant quatre salariés seulement, deux pour mercredi et deux jour jeudi.
  • Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a annoncé le dépôt jeudi d’un recours en référé contre les réquisitions des quatre salariés.
  • La grève a été reconduite sur tous les sites TotalEnergies ainsi que sur le site normand d’Esso-Exxonmobil dans la matinée.
  • TotalEnergies a annoncé qu’il allait recevoir individuellement les syndicats représentatifs du groupe pétrolier, y compris la CGT pour la première fois depuis le début de la grève.
  • Le syndicat Force Ouvrière (FO) a annoncé qu’il rejoignait le mouvement de grève pour les salaires, initié par la CGT chez TotalEnergies.
  • Lors de son interview sur France 2 mercredi soir, Emmanuel Macron a estimé que la situation reviendra à la normale « courant de la semaine prochaine ».

23h53 : ce live est maintenant terminé, merci de l’avoir suivi.

Pénuries de carburants, guerre en Ukraine… ce qu’il faut retenir de l’interview d’Emmanuel Macron sur France 2

En pleines guerre en Ukraine et pénuries de carburants, le président de la République, Emmanuel Macron, a accordé une interview à France 2 dans l’émission politique « L’Événement ». 

LIRE NOTRE RECAP.

21h50 : Le dépôt de Flandre dans le viseur des réquisitions

Les grévistes du dépôt de Flandres de TotalEnergies, près de Dunkerque, seront les prochains à faire l’objet de réquisitions, a assuré mercredi le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran.

21h07 : « Si le dialogue social n’aboutit pas, nous réquisitionnerons (davantage, NDLR) », dit Macron

Selon le président de la République, « on ne peut pas laisser le pays bloqué alors qu’un accord a été trouvé (chez Esso-Exxonmobil, NDLR). Et d’exhorter la CGT de « permettre au pays de fonctionner » tandis que le syndicat a annoncé un recours en référé contre les réquisitions.

Questionné sur la réponse « tardive » du gouvernement à cette crise, Emmanuel Macron s’est défendu : « On n’aurait pas pu faire les réquisitions avant. C’est au dialogue social de se faire. Il y a une part d’esprit de facilité et certains acteurs considèrent que l’on peut aller dans le dur direct. Si le dialogue social n’aboutit pas prochainement, nous réquisitionnerons (davantage, NDLR). »

21h02 : Emmanuel Macron prévoit un retour à la normale « courant de la semaine prochaine »

Interrogé sur la durée de cette crise des carburants sur France 2 mercredi soir, Emmanuel Macron s’est risqué à une date plus ou moins précise : « Le retour à la normale devrait se faire courant de la semaine prochaine », a-t-il estimé.




Infographie Visactu, sondage Elabe pour BFMTV

20h01 : Les stations-service autant en difficulté que la veille

A 17h, 30,8% des stations-service sont en difficulté au niveau national (31,3% mardi), selon le ministère de la Transition écologique.

42,6% des stations-service sont concernées dans les Hauts-de-France (contre 44,8% mardi) et 41,9% en Ile-de-France (contre 44% mardi). Les tensions restent fortes en Centre-Val-de-Loire (44,7% de stations en difficulté aujourd’hui, 45% mardi).

19h37 : Martinez (CGT) annonce le dépôt d’un référé pour s’opposer aux réquisitions chez ExxonMobil

Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, venu « soutenir » mercredi les salariés d’ExxonMobil à Notre-Dame-de-Gravenchon (Seine-Maritime), a annoncé le dépôt jeudi d’un recours en référé contre les réquisitions de quatre d’entre eux.

« C’est une décision scandaleuse, nous sommes au côté des salariés. Je peux vous annoncer que demain nous irons en référé pour soutenir tous les salariés qui sont réquisitionnés » pour permettre la livraison de carburants mercredi soir et jeudi depuis le dépôt normand d’ExxonMobil, a déclaré à la presse M. Martinez.

19h05 : Les réquisitions ne sont « pas une solution », selon Laurent Berger (CFDT)

« Je tiens à l’exercice du droit de grève, donc les réquisitions ne sont évidemment pas une solution », a déclaré mercredi le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, après la décision du gouvernement de réquisitionner des salariés grévistes d’ExxonMobil.

« Après, je ne suis pas responsable de l’approvisionnement des Français en carburant, donc ma position est un peu plus facile que d’autres », a ajouté le leader de la CFDT, soulignant que le mouvement social chez ExxonMobil et TotalEnergies est « très handicapant pour nombre de citoyens ». « Là, il y a une crispation, je ne souhaite pas l’escalade (…) J’espère qu’il va y avoir ouverture de négociations comme on le demande depuis la semaine dernière », a complété M. Berger.

19h00 : Philippe Martinez auprès des grévistes d’Esso ce soir

Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, rendait visite ce mercredi soir aux salariés grévistes d’Esso-Exxonmobil à la raffinerie de Port-Jérôme. « Leur grève est plus que légitime quand on voit les profits que font les entreprises pétrolières depuis plusieurs années, réagissait-il. Les salaires ont décroché depuis très longtemps mais avec le niveau d’inflation que l’on connaît aujourd’hui, ce décrochage est encore plus net. »

« C’est toujours pénalisant des grèves, concède-t-il. Mais tous les salariés quand ils ne sont pas contents se mettent en grève et je trouve que c’est difficile de trouver des citoyens de ce pays qui disent que c’est normal que Total et Exxon donnent beaucoup d’argent à leurs actionnaires et pas à leurs salariés. »

18h44 : Les Français autant pour que contre la grève dans les carburants, selon un sondage BFMTV

Selon un nouveau sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, 21% des Français interrogés déclarent qu’il leur est impossible de trouver de l’essence et 43 % qu’ils ont du mal mais arrivent à en trouver. Par ailleurs, 70 % des habitants du quart sud-est sont dans l’une de ces situations, soit l’une des zones les plus touchées de l’Hexagone.

La mobilisation n’est que moyennement soutenue au niveau national, selon ce sondage. En effet, 42 % des Français approuvent le mouvement de grève, tandis que 40 % désapprouvent.

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18h35 : Quatre salariés d’Exxonmobil pour l’instant réquisitionnés

Le gouvernement français a mis sa menace à exécution : il a lancé une première réquisition pour débloquer un dépôt de carburant d’Esso-ExxonMobil, dans le nord-ouest du pays.

Quatre salariés d’Esso-ExxonMobil ont ainsi été réquisitionnés pour permettre le fonctionnement du dépôt normand de carburants de Port-Jérôme (nord-ouest), deux pour mercredi et deux pour jeudi matin, a souligné le ministère de la Transition énergétique mercredi soir.

« L’arrêté préfectoral a été signé par le préfet de la région Normandie » et « envoyé au directeur du site d’ExxonMobil de Port-Jérôme qui les a notifiés », a précisé le ministère, conformément à l’annonce de la Première ministre la veille. Les quelques grévistes indispensables au déblocage du carburant des cuves vont ainsi se voir contraints de venir travailler, sous peine de sanctions pénales.

18h18 : La CGT Bouches-du-Rhône menace d’appeler à la « mobilisation générale » à la première réquisition

A la première réquisition sur un des sites pétroliers du pays, la CGT appellera à « la mobilisation générale » dans tous les secteurs, a menacé son antenne départementale mercredi à Martigues.

« Il y aura, dans tous les secteurs, des actions menées pour mettre fin immédiatement aux réquisitions », a-t-il précisé, soulignant que 30% des produits pétroliers qui transitent en France passent par les Bouches-du-Rhône.

Les représentants CGT du grand port maritime de Marseille-Fos et de la seule raffinerie en France qui n’est pas en grève, la raffinerie de Lavera, se sont également dits prêts à suivre le mouvement.







Photo Sipa


Le PDG de Total gagne-t-il 600 000 € par mois, comme l’affirme Fabien Roussel ?

En plein conflit social chez TotalEnergies, le dirigeant du Parti communiste français Fabien Roussel a longuement évoqué la rémunération du PDG Patrick Pouyanné : il percevrait 600 000 € par mois et se serait vu augmenter de 52% en un an. Ces chiffres sont proches de la réalité.

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17h08 : Chez Total, la CGT inflexible sur l’ouverture de négociations « sans conditions »

La CGT de TotalEnergies est restée inflexible mercredi sur l’ouverture de négociations salariales « sans conditions», à l’issue d’une première entrevue avec la direction du groupe, désormais ouverte selon le syndicat à des négociations si les livraisons de carburants reprenaient.

La direction « ne parle plus de levée de la grève, mais simplement d’une reprise des livraisons de produits » et accepte que les raffineries restent à l’arrêt pendant d’éventuelles négociations salariales, a indiqué aux journalistes Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité TotalEnergies Europe, au terme d’une rencontre d’une heure avec la direction, au siège social du groupe, dans le quartier d’affaires parisien de La Défense.

Le syndicat a proposé aux autres organisations représentatives reçues individuellement mercredi (CFE-CGC, CFDT et CAT -confédération autonome du travail) de se retrouver en intersyndicale après 18H00 pour essayer de trouver une position commune, afin de forcer la direction à ouvrir des négociations sur les salaires « dès ce (mercredi) soir si possible », a ajouté M. Defresne.

16h58 : Pour Eric Coquerel (LFI), ce n’est pas aux partis d’appeler à la grève

La députée écologiste Sandrine Rousseau a appelé mercredi à « la grève générale », espérant que le mouvement de grève dans les raffineries et dépôts de carburants chez TotalEnergies et ExxonMobil provoque une « étincelle».

Interrogé sur le sujet, le député Insoumis et président de la Commission des Finances Éric Coquerel a estimé que l’appel à la grève relevait des « prérogatives » des syndicats « même s’il faut des fronts les plus larges possibles».

« Je ne pense pas que ce soit aux organisations politiques d’appeler à la grève générale », a-t-il indiqué devant l’association des journalistes parlementaires (AJP). « Toute une série de secteurs aujourd’hui qui trouvent qu’ils sont dans une situation de mauvaise rémunération devraient rentrer dans le mouvement », a estimé pour sa part le député LFI Alexis Corbière au micro de RTL. « Ce n’est pas leur lutte, c’est notre lutte », a-t-il ajouté.

15h58 : Les grévistes CGT prudents face au dialogue avec TotalEnergies

« C’est un premier pas » : les militants CGT en grève de la raffinerie TotalEnergies de Feyzin (Rhône) ont accueilli favorablement ce mercredi la décision de la direction de recevoir le syndicat lors d’une réunion qu’elle avait initialement subordonnée à la levée des blocages.

« La direction ne voulait plus nous voir, maintenant si, ça ne peut donc qu’avancer. Mais je ne comprends pas qu’elle reçoive les syndicats individuellement. Collectivement, on peut mieux négocier, se mettre d’accord », regrette toutefois un militant.

15h20 : Force Ouvrière rejoint la CGT dans la grève

Le syndicat Force Ouvrière (FO) a annoncé ce mercredi qu’il rejoignait le mouvement de grève pour les salaires, initié par la CGT chez TotalEnergies. « Les syndicats FO de Donges (Loire-Atlantique), Feyzin (Rhône), Normandie (Seine-Maritime), La Mède (Bouches-du-Rhône), Grandpuits/Gargenville (Seine-et-Marne), Flandres (Nord) ont tous rejoint la grève légitime engagée depuis le 27 septembre 2022 », indique FO dans un communiqué.

L’organisation syndicale, non représentative au niveau du groupe mais quatrième force dans la branche raffinage-pétrochimie, déplore notamment la décision du gouvernement de procéder à des réquisitions de grévistes au cas où le mouvement se poursuivrait, et la communication du groupe qui « lâche ses salariés à la vindicte populaire en les faisant passer pour des nantis ».

13h56 : « amélioration très sensible dans les prochains jours », promet Véran

Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a répété mercredi que les Français verraient une « amélioration très sensible dans les prochains jours » des réserves de carburants dans les stations-services, grâce aux réquisitions de grévistes.

« Dans les prochains jours, là, vous allez avoir une amélioration très sensible », a déclaré Véran lors de son compte-rendu du Conseil des ministres à l’Élysée.
« Ensuite, pour qu’un retour à la normale complet puisse arriver, ça va prendre plusieurs jours », a-t-il ajouté.

13h50 : la CGT va être reçue par TotalEnergies pour la 1e fois depuis le début de la grève

TotalEnergies a annoncé mercredi qu’il allait recevoir individuellement les syndicats représentatifs du groupe pétrolier, y compris la CGT à l’origine de la grève qui a commencé le 27 septembre et provoqué des pénuries de carburants dans un tiers des stations-service françaises.

Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies Europe, a déclaré depuis le siège du groupe à La Défense qu’il acceptait ce premier rendez-vous. Initialement, TotalEnergies avait proposé de réunir mercredi les quatre syndicats collectivement, sauf la CGT à moins qu’elle ne lève la grève qui touche les quatre raffineries du groupe, mais deux d’entre eux avaient refusé sans la participation de la CGT.

11h46 : une délégation Nupes va se rendre à la raffinerie de Gravenchon-Port-Jérôme

Une délégation de députées du Groupe LFI-NUPES, menée par Mathilde Panot, la présidente du groupe, et composée de Farida Amrani, Antoine Léaument, Jérôme Legavre, et Thomas Portes se rendra sur le site de Gravenchon aujourd’hui à 13h30.

C’est sur ce site de la raffinerie Esso-ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme (Seine-Maritime) que le lancement de la réquisition des personnels a été annoncé ce matin par le ministère de la Transition énergétique.

11h02 : une cellule interministérielle de crise prévue à 11h15

Une cellule interministérielle de crise aura lieu ce mercredi à 11h15, selon BFMTV.

Elle a été décidée mardi en raison des difficultés d’approvisionnement en carburants rencontrées par près d’un tiers des stations-service.

10h09 : la CGT va envoyer une délégation à la réunion organisée par Total

La CGT envoie une délégation de quatre négociateurs à la réunion organisée à 14h, par la direction de Total, selon des informations de RMC. Elle les avait invités, à condition que les “blocages” soient levés. Pour autant, la grève continue dans les raffineries.

“Ça va barder”, aurait avancé un responsable cégétiste.

9h05 : La réquisition des personnels lancée dans une raffinerie de Seine-Maritime

Le ministère de la Transition énergétique a annoncé mercredi le lancement de la réquisition des personnels « indispensables au fonctionnement » du dépôt de carburant de la raffinerie Esso-ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme (Seine-Maritime) face à la reconduite de la grève avant l’aube.

« La réquisition débutera ce jour », assure le ministère. La raffinerie de Gravenchon est l’une des deux raffineries Esso-ExxonMobil en grève, quatre le sont également au sein du groupe TotalEnergies.

Que dit la loi si vous ne pouvez pas aller travailler ?

Ai-je le droit de ne pas aller travailler si mon réservoir est à sec ? Mon employeur peut-il me sanctionner en cas d’absence pour ce motif ? Et si mon travail implique l’usage d’un véhicule, que se passe-t-il ? On fait le point avec deux avocates en droit social.

>> Notre article

9h00 : Sandrine Rousseau espère “un mouvement de grève générale” en France

“J’espère que ce sera l’étincelle qui déclenchera un mouvement de grève générale”, déclare la députée interrogée sur Franceinfo, “la colère est telle qu’il faut que le gouvernement entende à quel point” sa politique “n’est plus supportable par les Français et les Françaises”.

7h30 : grèves reconduites chez TotalEnergies « pour l’ensemble des sites dans le mouvement »

Les grévistes de TotalEnergies ont reconduit mercredi le mouvement pour les salaires dans l’ensemble des sites impliqués, a-t-on appris auprès de la CGT.

La raffinerie de Normandie, près du Havre, le dépôt de carburant de Flandres, près de Dunkerque, la « bio-raffinerie » de La Mède (Bouches-du-Rhône) et la raffinerie de Feyzin ont voté la reconduction « et la raffinerie de Donges (Loire-Atlantique) est entrée dans le mouvement » comme annoncé la veille, a indiqué Eric Sellini, coordinateur CGT pour le groupe.

6h55 : grève reconduite chez Esso-ExxonMobil en Normandie, malgré la menace d’une réquisition 

La grève à la raffinerie Esso-ExxonMobil de Port-Jérôme (Seine-Maritime) a été reconduite mercredi matin à l’unanimité, malgré la menace brandie la veille par la Première ministre de réquisitionner les dépôts du groupe pétrolier.

Une cinquantaine de salariés grévistes ont voté à main levée la poursuite de la grève, au pied de l’usine, où des palettes brûlent et sans présence policière alentour.




Infographie Visactu

6h30 : pénuries de carburant : les réquisitions ont commencé 

Mettant sa menace à exécution, le gouvernement a annoncé mardi des réquisitions de personnel afin de débloquer les dépôts pétroliers. Elles ne concerneraient dans un premier temps qu’Esso-ExxonMobil, mais pourraient aussi s’étendre rapidement à TotalEnergies.

>> Notre article

Ce qu’il faut retenir des dernières 24 heures

https://www.leprogres.fr/social/2022/10/12/en-direct-greve-reconduite-chez-esso-exxonmobil-en-normandie-malgre-la-menace-d-une-requisition Carburants. Début des réquisitions, FO rejoint la grève, discussions chez Total… ce qu’il faut retenir de ce mercredi

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