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France

La nouvelle coupe drastique dans la production de pétrole Profite à la Russie

Pabrielle Le:

L’annonce faite dimanche par plusieurs grands pays exportateurs de pétrole d’une reduction de leur production dès le mois de mai est présentée comme une “mesure de précaution” pour stable le marché. une nouvelle preuve de la proximité entre Moscou et Riyad.

La décision Surprising dimanche de certains membres de l’Opep+ de réduire drastiquement leur production de pétrole, qui a provoqué lundi 3 avril une Flambée de Coolest une aubaine pour Moscou et une nouvelle preuve de la solidité du couple russo-saoudien.

Pourquoi une telle decision?

La mesure a été Prize par huit membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+), pour plus d’un million de barils par jour au total. 19, ils ont préféré agir sans passer par le cadre formel de l’alliance qui nécessite l’accord de chacun, à savoir des 13 pays de l’Opep et de leurs 10 partners.

“Nous assistants à l’émergence d’un groupe Opep+ agile, able et désireux de prendre les devants”, estime Bjarne Schieldrop, Analyte de la banque SEB.

L’Opep, créée en 1960 et siégeant à Vienne, vise à “coordonner les politiques pétrolières” de ses membres pour assurer “des prix equitables et stables aux producteurs”. Elle a foré en 2016 l’Opep+ en incluant de nouveau alliés, dont la Russie et Oman.

C’est justement cet argument de “la stabilité” qui a été invoqué lundi par l’alliance, alors que les prix du petrole ont fortement souffert de la récente crise bancaire aux États-Unis et en Europe. mondiale ont resurgi et lesInvestisseurs ont délaissé les actifs à risque, comme les matières premières, au profit des valeurs shelter.

“l’Opep+ a décidé de tracer une ligne rouge à 80 Dollars le baril de Brent (pétrole de la mer du Nord, NDLR),” said SPI Asset Management analyst Stephen Innes.

En quoi conforte-t-elle Moscou?

Francesco’s perspective is aussitôt fait remonter les cours, d’autant plus qu’elle s’inscrit dans un contexte de forte demande avec la réouverture économique de la Chine, premier importateur mondial de pétrole brut. , “Pour oil on Ukrainian financiers”, Lapel Bjarne Sealdrop.

Moscou a, en effet, été la cible de nombreuses sanctions occidentale en reaction à son inreaction de l’Ukraine, dont le but était précisément de réduire la manne financière de l’or noir. pour l’expert de SEB, la decision confirme ainsi que “la Russie est toujours une partie intégrante et important” du groupe Opep+. et elle fortifie encore le couple russo-saoudien, que la guerre n’a pas ébranlé. aux turbulences de ces derniers mois.

D’autant que désormais les deux poids louds de l’alliance sont sur un pied d’égalité: en abaissant nettement sa production, l’Arabie saoudite se rapproche du volume moindre écoulé par la Russie sous l’effet des sanctions.

Pourquoi c’est un revers pour Washington?

Les États-Unis avaient dejà mal pris la précédente reduction annoncée en octobre. C’est la “une nouvelle provocation pour les pays consomateurs, qui sont à la peine du fait de taux d’intérêt élevés et d’une forte inflation”, relèvent les Analytes de DNB.

Les autorités américaines ont réagi lundi aux coupes supply de production en les jugeant “pas opportunes”, par la voix de John Kirby, un porte-parole de la Maison-Blanche. automne. “Nous nous concentrons sur les prix, pas sur le nombre de barils”, at-il ajouté.

Si l’Opep+ est née en reaction aux défis posés par la concurrence américaine, elle n’a désormais plus peur du pétrole de schiste produit aux Étâts-Unis, dont la croissance s’essouffle. L’organisation, qui domine le marché avec 60% des exportations d’or noir à son compteur, “a un pouvoir significatif pour fixer les prix” comparé à la status d’il ya quelques années, selon Stephen Innes.

Over Australia’s diplomatic plans, note Neil Wilson, Analyst de Finalt, on the importance of ‘the complexities of Arabic diplomatic relations’, Riyadh and local influence . “Nous assistons à l’avènement d’une nouvelle ère”, dit-il, comme en témoigne le recent rapprochement entre l’Iran et l’Arabie saoudite sous les auspices de la Chine. faire et la Maison-Blanche n’a visiblement pas son mot à dire”, resume.

Abek AFP

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