Les États-Unis se dirigent-ils vers leur première “richcession” ?

Au tour des riches de boire la tasse économique aux États-Unis ? Published in The Wall Street Journalla possible récession à venir outre-Atlantique va casser les canons du Gen frappant les classes aisées enpriorité tout en épargnant largement les salariés les plusmodetes. la “richcession” (ou “récession pour les riches”).

Si l’hypothèse d’une recession aux États-Unis en 2023 ne fait pas l’unanimité parmi les économistes, le ralentissement de la croissance, lui, ne fait guère de doute. précrise que les plus pauvres trinquent enpriité”, note David Philippy, historien de la pensée Economic America à CY Cergy University of Paris.

Des cols blancs moins bien lotis que les cols bleus

Les annonces en série de licenciements dans le secteur technologique aux États-Unis contribuent à cette image des cols blancs frappés de plein fouet par le ralentissement économique. $785, tandis qu’il est de 232 $626 chez Twitter [deux groupes touchés par d’importants plans sociaux, NDLR]”, détaille le Wall Street Journal. C’est près de cinq fois plus que le revenu annuel médian aux États-Unis.

La casse sociale n’est pas limitée aux plus grandes stars de la Silicon Valley. The Washington Post’s Soul LineUn constat dressé avant d’autres grandes annonces, comme celle du géant Amazon qui a dévoilé, mercredi 4 janvier, son’s intention de se séparer de 18 000 salariés cette année.

Autore phénomène qui fait du mal au portefeuille des classes supérieures : la mauvaise santé boursière. En 2022, Wall Street a connu sa pire année depuis 2008 : le S&P 500, l’indice des 500 principals entreprises cotées, a chuté de 20%.

Malgre unesuree Democratizing stock investmentles portefeuilles d’actifs financiers resent surtout entre les mains des plus aisés. aaugmenté de 1 000 milliards de Dollar depuis deux ans. La chute actuelle peut peut sembler particulièrement périlleuse pour eux effacer de très importantes sommes pour les inspectisseurs de ces grands groupes qui sont généralement aisés”, explique Martial Dupaigne.

À l’autre extrémité de la pyramide sociale, “pour la plupart des Américains les plus pauvres, la periode actuelle est plus simple financièrement”, assure le Wall Street Journal. d’emploi sansation”, Tobias Bloor, Constate Tobias Bloor, International Macroeconomic Expert, Paris University of Economics (PSE).

Contrairement aux géants de la tech, les groupes de plusieurs secteurs qui ont recours à des employeeés en bas de l’échelle salariale ont du mal à recruiter. et de la restauration par rapport à 2020, au de la pandémie de Covid-19, note le Wall Street Journal. Results: ces salariés sont en position avantageuse pour négocier des hausses de remunération. Les revenus des foyers les plus pauvres ont d’ailleurs progress de 7 % depuis la fin de l’annee 2021, a constaté la Réserve fédérale americaine.

Une “richcession” de courte durée?

La récession attendue serait donc d’un nouveau Genre. Une “richcession” inédite ? Pas si vite, tiennant à nuancer les économistes interrogés par France 24. La Situation Cue Ron of Ojourde Hui Poute, Certes, Sembler Extraordinaire, Mais que to tres speculative e creative de trubar une nouvelle form de reception a partile de quelques example cités dans l’article”, tempère Martial Dupaigne.

D’abord, “les licenciements dans le secteur de la tech sont un phénomèneectoriel”, souligne Tobias Broer. “Il est encore un peu tot pour généraliser”, juge l’économiste de la PSE.

Les malheurs des boursicoteurs ne sont, en outre, pas seulement une Affairse de millionnaires. aussi être impactés”, lapel David Philippy.

Enfin, s’extasier de la bonne forme du marché du travail pour les salariés au pied de l’échelle de salaire reviendrait à porter, irrespective of the legal term sur la sequence economics qui sannons, the expert of the soul Interrogation. La comparaison entre le chômage des cadres supérieurs et un marché de l’emploi très dynamique pour les bas salaires “ne tient pas puisque les cadres moyens supérieurs restent beaucoup moins longtemps au chômage”, souligne Pierre Gervais, spécialiste de l’histoire économique américaine à l’université Sorbonne Nouvelle.

Sans compter que la lutte contre l’inflation devrait finir par impacter l’emploi des plus pauvres. réduire fortement l’inflationils vont devoir fightertre la hausse des salaires, ce qui devrait se traduire par une detérioration des conditions du marché de l’emploi pour les bas revenus”, estime Tobias Broer.

Dans l’ensemble, l’aspect le plus discutable de ce nouveau concept de “richcession” est “l’amalgame entre le court et le long terme”, estime David Philippy. L’analyse du Wall Street Journal repose sur l’idée que cette state très particulière – nombreux licenciements dans la tech et Bourse en net recul – va perdurer jusqu’à la fin de la récession ou de la periode de ralentissement économique. un moment donné” affirms David Philippy.

Un concept political connoté?

“On peut dire à la limite que ce de but de récession touche d’abord les cadres supérieurs”, concède Pierre Gervais. “. En effet, “plusieurs grandes séquences de récession aux États-Unis ont commencé par desincidents boursiers qui ont frappé aux portefeuilles des plus ou moins riches, à beginr par la crisis de 2008”, rappelle Pierre Gervais.

A special soup concept is the konnote of the “rich session” date policy. D’abord parce que le terme peut prêter à confusion. vraiment riche. En revanche, la récession épargne les ‘vrais’ [c’est-à-dire les fameux 1 %, NDLR]”, assures Pierre Gervais.

“Il est vrai que l’article ne Concerne pas vraiment le sort des ultrariches aux États-Unis, dont l’essentiel des revenus vient du capital et qui sont peu impactés par les licenciements [ou les soubresauts probablement passagers de la Bourse]”, reconnaît David Philippy. Et mettre tout le monde dans le même sac de la “richcession” peut donner l’impression que les plus fortunés ne sont pas épargnés, cette fois-ci. classique en temps de crise, à mettre les plus riches davantage à contact pour alléger les épaules des plus fragiles ?