Unmoving. Au 3e triestre, le marché reste dynamique

Le 3^e Confirmed by les chiffres observés depuis le début de l’annee au sein du réseau d’agences immobilières Laforêt : le marché́ immobilier reste dynamique, même si le volume de transactions de 2022 ne devrait pas dépasser celui de 2021.

Il a vit Profité d’un effet de rattrapage lié aux confinements. à savoir les moins de 35 ans et les ménages les plusmodetes.

Côte Puri, un rééquilibrage s’opère entre de grandes métropoles, qui voient leurs prix au mètre carré se stabilizer (voire regresser comme à Paris), et des zone periurbaines eturales où les prix progressive encoreremarque le réseau Laforêt.

Des transactions qui devraient atteindre le million en 2022

Le volume de transactions est en léger recul au 3^e Trimester 2022 (- 3 % per rapport au 3^e 2021 semester). Dans son ensemble, le marché devrait toutefois dépasser le million de transactions d’ici la fin d’annee, estime Laforêt.

Paris retrouve des couleurs avec des volumes de ventes qui bondissent de 10 %. Malgré une baisse de 4 %, l’Ile-de-France Charm of the Preserved Son, tandis qu’en régions (- 2,5 %), La Base est principalement liée à une demande quine trouve pas l’offre correspondent. Sans compter que les départs au vert, constés ces deux dernières années, tend.

Une demande inférieure aux deux dernières années

Au niveau national, la demande dans l’immobilier ancien progresse par rapport au 3^e Trimestres 2021 (+ 3 %), mais reste pourtant très inférieure aux croissances à deux chiffres que le marché a connues ces dernières années, souligne Laforêt.

Des profils d’acquéreurs qui évoluent

La Proportion de Primo Accentants Necesses de Regular. Ils ne représentent désormais plus que 1 transaction sur 3 (32 %), alors qu’ils préemptaient plus de 50% du marché auparavant.

Disposant souvent d’un apport confortable, lié à la revente de leur précédent bien, les secundo-accédants conduisent désormais la majorité des transactions (50%).

L’investissement locatif, quant à lui, subit un sérieux revers : représentant plus de 20% des transactions hatiellement au sein de Laforêt, il tombe à 16%. les obligations de rénovation énergétique qui freinent les investmentisseurs.

Les refus de prêts immobiliers progressent significativement. du fait du plafonnement du taux d’endettement, de la limited de la durée d’emprunt and others du taux d’usureMoins dotes en apport person, ce sont majoritairement les jeunes de moins de 35 ans et les menages les plusmodetes qui sont ainsi écartés de l’accession à la propriété.

Des prix orientés à la hausse, mais qui s’assagissent comme à Lyon

Les prix continued de progresser (+ 5,2 % au niveau national, à 3 514 € le m² en moyenne). « Les acquéreurs se hâtent de finaliser leur projet d’acquisition par crainte de voir les taux d’intérêt bondir encore », souligne Laforêt. 9 %, contre + 3 % pour les appartements par rapport a septembre 2021.

L’Isle de France (+ 1,9 %, à 4 633 € le m²) et les régions (+ 7,5 %, à 2,563 € le m²) voient leurs prix progresser régulièrement. Rural areas and periurbans of certainty, notamento d’art les commune a fable d’ensite, les maisons, prix d’assault, voient leurs prix grimper de plus d’ ·Ten%. Dans plusieurs grandes métropoles, en revanche, les prix s’assagissent : Lille stables, Bordeaux + 0.5 %, Lyon + 1.5 %.

Si Paris marque un retrait (- 1,2 % à 10 304 € le m²), elle ne décroche pas pour autant.

des délais de vente sous la barre des trois mois

Les délais de vente restent rapides, sous la barre des 3 mois au national (79 jours, + 2 jours par rapport à septembre 2021) et 80 jours en régions. En 2015, cette durée était de 109 jours. même à Paris où, habituellement, ce délai se situe sous la barre des 60 jours, il est désormais de 79 jours. Globalement, les acquéreurs se montrent plus exigeants et précipitent moins leur achat.